« Henri Renoux, calligraphe mystique ainsi que le qualifie Salah Stétié, croise ici le mystique iraquien du X e siècle Hallâj. La traduction de ses œuvres par le grand orientaliste Louis Massillon, au début du siècle dernier, permet d’admirer la pureté de sa poésie, et de le considérer comme l’égal de Jean de la Croix ou de Thérèse d’Avila. Salah Stétié commente dans cet l’ouvrage le travail du calligraphe et l’œuvre du saint martyr dans un texte à la fois érudit et sensible. Chant d’amour est l’œuvre de trois poètes. »